Les actions menées jusqu’à présent nous ont déjà permis de dégager quelques première leçon que nous avons mis en commun lors de cette réunion :
– Parmi les outils à développer par le projet, la carte des ressources en matière de formation et d’orientation professionnelle est essentielle, elle se veut équilibrée et complète.
– À cette fin, tous les agents du secteur seront suivis, recherchés et encouragés à maintenir leurs données à jour à travers un formulaire simple dans lequel il sera indiqué, par territoires, zone géographique et secteur d’action, spécialisation, etc.
– En ce qui concerne la capitalisation des ateliers, nous avons l’intention de rassembler dans un tableau récapitulatif la synthèse des principales conclusions de chacun d’entre eux, les tâches à accomplir des ateliers pour les améliorer et les idées qui ont surgi pour les enrichir.
– Malgré cette période de COVID, etc., tous les experts en insertion professionnelle ont dit que les métiers à faible couverture sont les métiers qu’il y a toujours eu et qu’il y aura probablement dans un avenir proche. Ainsi, une mise à jour annuelle serait suffisante, car il n’y a généralement pas beaucoup de changements.
– La possibilité de développer conjointement un programme financé par ERASMUS + sur les échanges professionnels est évoquée.
– Il semble approprié de créer un lexique trilingue de l’emploi, ce qui a beaucoup à voir avec la partie modélisation, car parfois nous pensons que nous parlons de la même chose lorsque nous traduisons, mais en réalité ce n’est pas le cas, il serait donc préférable de créer un vocabulaire commun sur le sujet.
– L’enquête menée auprès d’experts et d’entreprises a révélé que la notion d’emploi transfrontalier n’est pas connue et qu’aucune entreprise n’a fait l’expérience de l’adaptation des pratiques de formation. Les entreprises ne savent pas non plus ce que c’est que d’avoir un travailleur transfrontalier dans leur entreprise. Il est important de travailler ensemble sur cet aspect.